Le lifting de la lèvre supérieure

Le lifting de la lèvre supérieure

 

 

Le lifting de la lèvre supérieure, ou « lip lift » est une chirurgie de la lèvre supérieure blanche, visant à redonner sa jeunesse et son volume à une lèvre vieillissant.

 

 

Le vieillissement de la lèvre supérieure

 

La gravité fait son effet. Grâce à elle, nous gardons les pieds sur Terre, mais parce qu’elle agit sur nous en permanence, avec le temps, notre corps, et donc notre peau vont avoir tendance à s’affaisser.

La résorption osseuse ainsi que le relâchement cutané vont avoir pour conséquence un allongement de la lèvre blanche, un affinement de la lèvre rouge, ainsi que l’apparition de ridules dans cette région, donnant ainsi un aspect de lèvre pincée.

 

Quels sont les différents gestes possibles ?

 

Ce vieillissement de la lèvre peut être traité de différentes manières :

 

  • La médecin esthétique : en réalisant des injections d’acide hyaluronique (au niveau de la lèvre rouge afin de repulper celle-ci, et/ou au niveau de la lèvre blanche, en utilisant la technique du « blanching », de manière à traiter les rides verticales)

 

  • La chirurgie : le lip lift : elle va permettre de raccourcir la lèvre blanche supérieure, qui s’est souvent allongée avec le temps, mais également d’éverser la lèvre rouge

 

 

Comment se déroule cette chirurgie ?

 

Après un examen minutieux par le Docteur Haiun en consultation, vous lui ferez part de votre désir, et de la technique souhaitée pour répondre à votre attente. Le chirurgien vous proposera alors le traitement le plus adapté à votre cas, décidera, en accord avec vous le ou les techniques à réaliser et vous en expliquera les principes (cicatrices, risques, bénéfices).

 

Le lip lift se déroule généralement en chirurgie ambulatoire, c’est-à-dire que le patient entre le matin de l’intervention et sort le soir de la clinique, sous anesthésie locale associée à une sédation. Différents gestes peuvent être associés, tels qu’une blépharoplastie, ou encore un lifting cervico-facial.

 

Les dessins sont réalisés sur le patient avant le début de l’intervention, et la peau en excès est ensuite enlevée grâce à une incision réalisée en ailes de mouettes à la base des narines. Cette cicatrice est généralement très discrète, car cachée dans les plis naturels, et s’atténue avec le temps.

 

Et la douleur ?

 

Cette chirurgie n’est que peu douloureuse, cependant, le Docteur Haiun vous remettra avant la sortie de la clinique les ordonnances nécessaires pour pallier à une éventuelle douleur, ainsi que des ordonnances pour faire réaliser les soins locaux.

 

Quelles suites opératoires ?

 

Elles sont relativement simples :

 

  • les soins locaux vous seront expliqués avant la sortie de la clinique par le Docteur Haiun, et il vous sera possible de les réaliser seuls, ou par une infirmière selon vos désirs
  • les fils de suture seront à enlever une semaine après l’intervention. Ils ne sont pas résorbables, afin de limiter l’inflammation de la cicatrice, et donc permettre de l’atténuer au maximum
  • durant la première semaine, vous pouvez avoir quelques ecchymoses (bleus), et oedèmes, mais ceux-ci se résorbent généralement très rapidement
  • le résultat définitif est généralement visible 2 à 3 mois après l’intervention

 

Quels sont les tarifs de ces différentes techniques ?

Lips, Woman Face Mouth Beauty, Beautiful Skin and Full Lip Closeup, Pink Lipstick

Vous pourrez retrouver l’ensemble des tarifs des différents gestes ici.


L’information du patient

Une intervention chirurgicale réussie, est une intervention au décours de laquelle le patient et le chirurgien sont parfaitement satisfaits du résultat.

Pour cela, la relation médecin/malade basée sur une confiance mutuelle est indispensable. Il est donc nécessaire que ce dernier ait reçu de la part de son chirurgien esthétique l’ensemble des informations liées à l’intervention (préopératoire, déroulement de l’intervention, cicatrices, postopératoire, douleurs, port du vêtement de contention…).

 

Selon l’article R.4127-35 du code de la santé publique, « Le médecin doit à la personne qu'il examine, qu'il soigne ou qu'il conseille, une information loyale, claire et appropriée sur son état, les investigations et les soins qu'il lui propose. Tout au long de la maladie, il tient compte de la personnalité du patient dans ses explications et veille à leur compréhension ».

 

La première consultation

 

C’est la consultation la plus longue et la plus importante.

C’est au cours de cette première consultation au cabinet du Docteur Haiun que votre demande sera entendue. Après un interrogatoire médical et un examen clinique minutieux, ce dernier vous proposera et vous expliquera les différentes techniques chirurgicales possibles, pour répondre à votre attente, avec leurs avantages, leurs inconvénients et leurs risques.

Certains patients arrivent en consultation avec une idée bien précise de la chirurgie qu’ils souhaitent. C’est dans ce cas au chirurgien d’expliquer quelle est la meilleure technique à réaliser, et d’en préciser les raisons, quand bien même la décision finale est prise par le patient. Une relation de confiance médecin/malade est donc absolument indispensable.

 

Une fois l’indication chirurgicale posée, le Docteur Haiun vous expliquera alors cette intervention et ses suites :

 

  • la durée opératoire, la position chirurgicale

 

  • la chirurgie : les gestes à réaliser et comment les réaliser, les incisions et les cicatrices, la durée opératoire

 

  • le type d’anesthésie réalisé (locale, générale, ou locale + sédation)

 

  • le type d’hospitalisation (ambulatoire ou conventionnelle, c’est-à-dire la durée d’hospitalisation nécessaire pour envisager une sortie de la clinique sans risque pour le patient)

 

  • les cicatrices : leur localisation, leur taille, les techniques et moyens de les atténuer au maximum

 

  • la douleur postopératoire : c’est la principale crainte de la plupart des patients. Certaines interventions telles que la mise en place d’implants mammaires en position rétro-musculaire, ou encore le Brazilian Butt Lift sont plus douloureuses que d’autres, mais dans tous les cas, ces douleurs répondent largement aux antalgiques prescrits

 

  • la nécessité ou non du port d’un vêtement de contention, ainsi que sa durée

 

  • dans le cas d’une consultation de médecine esthétique, le Docteur Haiun vous donnera le nombre de seringues d’acide hyaluronique et/ou de toxine botulique à injecter, ainsi que les régions à traiter de manière à obtenir un résultat harmonieux

 

 

En cas d’intervention nécessitant la réalisation d’une demande d’entente préalable, celle-ci sera complétée, puis remise au patient afin que la sécurité sociale puisse ou non accorder une prise en charge partielle de l’intervention.

 

En fin de consultation, un devis ainsi qu‘une feuille d’informations (détaillant l’ensemble de l’intervention, les risques, les cicatrices, le postopératoire etc…) vous seront remis. Le devis sera à remettre daté et signé lors de la seconde consultation.

 

La seconde consultation

 

C’est la consultation de confirmation.

Au cours de celle-ci, le Docteur Haiun répondra à vos questions, et l’intervention sera confirmée.

Des photos seront alors prises, le devis et le consentement éclairé seront signés.

Vous recevrez alors :

 

  • Toutes les informations nécessaires pour réaliser votre pré-admission à la clinique

 

  • Les ordonnances vous permettant de récupérer les éléments à obtenir en préopératoire (bas et vêtements de contention ou de maintien, Bétadine Scrub en cas de chirurgie ambulatoire…)

 

La douleur

 

L’une des principales craintes de l’ensemble des patients est la douleur postopératoire.

Certaines interventions chirurgicales telles que la mise en place d’implants mammaires en position rétro-pectorale (derrière le muscle), la réalisation d’un diastasis (c’est-à-dire rapprocher les muscles grands droits de l’abdomen qui ont été écartés l’un de l’autre, généralement dans les suites d’une grossesse) lors d’une abdominoplastie, ou encore les implants de fesses sont plus douloureuses que d’autres.

Au contraire, certaines interventions, parfois même impressionnantes telles que le lifting cervico-facial, la lipoaspiration, ou encore les lipofilling mammaire ou de fesses ne sont que très peu douloureuses.

DANS TOUS LES CAS, une consultation auprès d’un anesthésiste est prévue avant chaque intervention chirurgicale. Au cours de celle-ci, et en concertation avec le Docteur Haiun, sera évaluée la douleur postopératoire.

Lors d’interventions plus douloureuses, certains gestes peuvent être réalisés par les anesthésistes en plus de l’administration d’antalgiques, tels que des blocs nerveux, c’est-à-dire l’injection d’anesthésiants au contact de certains nerfs, dans le but d’endormir durant plusieurs heures les zones opérées. Des antalgiques sont également prescrits et donnés à la demande.

Enfin, lorsque le patient sort de la clinique, une ordonnance d’antalgiques est prescrite et adaptée au type de chirurgie.

Au total, même les interventions douloureuses sont généralement parfaitement contrôlées par les antalgiques.

 

Le postopératoire

 

Quelques heures après l’intervention, le Docteur Haiun passera systématiquement vous voir, afin de vous examiner, et vous expliquer les gestes qui ont été réalisés au cours de l’acte chirurgical.

Une à deux visites quotidiennes seront effectuées en cas d’hospitalisation, et une visite le lendemain ou le surlendemain en cas de chirurgie ambulatoire.

Des visites de contrôle seront ensuite effectuées de manière hebdomadaire jusqu’à cicatrisation complète, puis à 1 mois, 3 mois, 6 mois et 1 an.


Chirurgie esthétique et douleur

Malgré le fait que la chirurgie esthétique soit généralement très peu douloureuse, une des principales craintes de l’ensemble des patients est la douleur postopératoire.

Certaines interventions chirurgicales telles que la mise en place d’implants mammaires en position rétro-pectorale, la réalisation d’un diastasis (c’est-à-dire rapprocher les muscles grands droits de l’abdomen qui ont été écartés l’un de l’autre, généralement dans les suites d’une grossesse) lors d’une abdominoplastie, ou encore les implants de fesses ou de mollets sont plus douloureuses que d’autres. La douleur liée à ces interventions ressemble à de grosses courbatures, et dure en moyenne une à deux semaines. Elle est cependant très bien calmée par les antalgiques.

 

Au contraire, certaines interventions, parfois même impressionnantes telles que le lifting cervico-facial, la lipoaspiration, le lipofilling mammaire, ou encore le lifting mammaire ne sont que très peu douloureuses.

 

DANS TOUS LES CAS, une consultation auprès d’un anesthésiste est prévue avant chaque intervention chirurgicale. Au cours de celle-ci, et en concertation avec le Docteur Haiun, sera entre autre évaluée la douleur postopératoire, de manière à la prévenir du mieux possible.

 

Quels sont les différents types d’anesthésie ?

 

Une intervention chirurgicale ou un acte de médecine esthétique anesthésie sont toujours réalisés sous anesthésie.

3 types d’anesthésie sont réalisables :

 

  • L’anesthésie locale : généralement utilisée pour les actes de médecine esthétique (injections d'acide hyaluronique), ou les petits actes réalisés au cabinet, c’est le chirurgien esthétique qui réalise lui-même l’anesthésie de la zone à opérer, généralement en appliquant un anesthésiant local avant les injections d’anesthésiant. Grâce à cette anesthésie, le patient sent que le chirurgien touche la zone traitée, mais ne ressent aucune douleur

 

  • L’anesthésie locale avec sédation : elle est utilisée pour réaliser de petits actes chirurgicaux au bloc opératoire, tels que les blépharoplasties, les mini-liftings ou encore les réductions de boules de Bichat. Un anesthésiant local est injecté comme pour une anesthésie locale pure, mais un léger sédatif est administré par les anesthésistes de manière à faire somnoler le patient

 

  • L’anesthésie générale : le patient est complètement endormi, et des antalgiques sont administrés au cours de l’intervention pour réduire au maximum les douleurs postopératoires.

 

 

Comment prévenir la douleur postopératoire ?

 

Lors d’interventions plus douloureuses, certains gestes peuvent être réalisés par les anesthésistes en plus de l’administration d’antalgiques, tels que des blocs nerveux, c’est-à-dire l’injection d’anesthésiants au contact de certains nerfs, dans le but d’endormir durant plusieurs heures les zones opérées. Des antalgiques sont également prescrits et donnés à la demande durant l’hospitalisation.

Enfin, lorsque le patient sort de la clinique, une ordonnance d’antalgiques est prescrite, expliquée au patient, et adaptée au type de chirurgie. La douleur est donc en général totalement contrôlée en peropératoire, c’est-à-dire durant l’intervention, et en postopératoire.

Au total, même les interventions douloureuses sont généralement parfaitement contrôlées par les antalgiques.

 

Quels sont les facteurs influençant l’intensité de la douleur postopératoire ?

 

Deux facteurs principaux jouent sur la douleur postopératoire :

 

  • Le type d’intervention : contrairement aux idées reçues, ce ne sont pas les interventions les plus impressionnantes ou les plus longues qui sont les plus douloureuses. En effet, un lifting cervico-facial ou une réduction mammaire est moins douloureuse que des implants de mollets ou des implants mammaires. Lorsque le chirurgien travaille sur un muscle au cours d’une intervention, alors celle-ci est à risque d’être douloureuse en postopératoire. Des antalgiques plus forts seront alors nécessaires pour contenir efficacement la douleur.

La douleur postopératoire dépend également de la lourdeur de l’intervention : plus celle-ci est importante, plus elle risque d’être importante en postopératoire : un volumineux décollement ou une importante lipoaspiration sont plus à risque d’être sensibles qu’un petit geste.

 

  • Le patient lui-même : certains patients sont plus sensibles que d’autres à la douleur. Un point commun à l’ensemble des patients est cependant l’aspect psychologique. Celui-ci joue un rôle extrêmement important dans la douleur postopératoire, et un patient averti de la possible douleur postopératoire, appréhendera mieux cette douleur, ne sera pas surpris par celle-ci, et sera donc généralement moins algique (douloureux).

Il est donc indispensable d’informer le patient en préopératoire, de le préparer, mais également, le prévenir qu’il existe des antalgiques nombreux et très efficaces pour annihiler toute douleur postopératoire en chirurgie plastique et esthétique.

 

Comment bien informer le patient ?

 

L’information du patient est indispensable pour prévenir et diminuer la douleur postopératoire.

Les informations sont données au cours des deux consultations préopératoires, et visent à réduire l’anxiété du patient en lui précisant le déroulement de l’intervention, ainsi que ses suites opératoires (durée du port du vêtement de contention, réalisation des pansements, gestion de la douleur en postopératoire, suivi postopératoire…).

C’est également au cours de la première consultation qu’une relation de confiance médecin/patient s’installe. Celle-ci est primordiale pour le bon déroulement de l’intervention, mais également pour le bon déroulement des suites postopératoires.

 

Que faire en cas de douleurs intenses ?

 

En cas de douleur anormale, ou pour toute autre interrogation, préopératoire ou postopératoire, le Docteur Haiun reste joignable 7j/7.


La chirurgie esthétique des fesses

La chirurgie esthétique connaît depuis quelques années un essor considérable en France. Cet essor est dû à la « démocratisation » du culte du corps. Cette nouvelle tendance, en partie liée à l’émergence des réseaux sociaux, et à l’influence de certains pays américains (Etats-Unis, Brésil, Colombie), a entrainé une disparition des tabous liés à la chirurgie esthétique. C’est donc tous les domaines de notre spécialité qui ont bénéficié de cette émergence.

 

Chez l’hommes, c’est la chirurgie intime telle que la pénoplastie, ou encore la chirurgie de redéfinition du corps, appelée abdominal etching, permettant de dessiner les reliefs esthétiques de la paroi abdominale, qui ont connu un essor considérable.

 

Chez la femme, l’intervention la plus pratiquée reste la chirurgie d’augmentation mammaire, par implants ou par lipofilling, c’est-à-dire injection de graisse. De la même manière que chez l’homme, les interventions de chirurgie intime telles que la nymphoplastie, l’augmentation du point G, ou encore l’augmentation des grandes lèvres par injection de graisse, ne sont plus des interventions taboues, et sont donc bien plus pratiquées qu’auparavant.

 

 

La chirurgie de la silhouette, et en particulier la chirurgie esthétique des fesses (augmentation par implants ou par injection de graisse, lifting des fesses) a également connu un essor considérable ces dernières années.

 

Il en va de même pour la médecine esthétique (toxine botulique, acide hyaluronique)

 

Pourquoi la chirurgie esthétique des fesses ?

 

La mode actuelle n’est plus celle des mannequins sans formes, que l’on apercevait autrefois lors des défilés. De nos jours, le modèle de beauté, inspiré du modèle de beauté d’Amérique du Sud, est la présence de formes pulpeuses, naturelles, et de fesses galbées, fermes et toniques.

A cela s’ajoute la popularisation de la chirurgie plastique, qui n’est désormais plus réservée qu’à la chirurgie de la face et des seins, mais également à la silhouette et au reste du corps (chirurgie intime…).

 

A qui s’adresse la chirurgie esthétique des fesses ?

 

Cette chirurgie s’adresse aux hommes comme aux femmes de plus de 18 ans. Elle est indiquée chez les patients présentant des fesses plates, ou désirant obtenir un galbe plus important. Elle est également indiquée chez les patients ayant présenté une perte de poids importante, et présentant un excédent cutané, avec des fesses tombantes (ptosées). Cette ptose est la plupart du temps prédominante dans la partie inférieure de la fesse.

 

Quels sont les différents gestes possibles ?

 

L’augmentation des fesses peut se faire selon différents procédés :

 

 

 

Les implants glutéaux :

 

En silicone, ils peuvent être de différente forme (mono convexe, biconvexe ou anatomiques), et sont insérés dans le muscle gluteus maximus. Ils sont généralement indiqués lorsque le patient ne présente pas suffisamment de graisse pour la réalisation d’un lipofilling, ou en association avec cette technique.

 

Le lipofilling des fesses :

 

Egalement appelée Brazilian Butt Lift (BBL). C’est l’intervention à la mode, et l’intervention phare de la chirurgie des fesses. Une lipoaspiration de différentes zones est réalisée, puis la graisse prélevée est purifiée, puis réinjectée dans le tissu sous-cutané. Elle présente les avantages d’obtenir un résultat totalement naturel, sans corps étrangers, avec des cicatrices de l’ordre de 3 à 4 millimètres, cachées dans les plis naturels. De plus, la lipoaspiration réalisée va permettre d’enlever les zones de lipomérie (excédent graisseux), et ainsi, galber les fesses, mais également redessiner de manière précise et naturelle les courbes de la patiente.

Cette chirurgie peut être risquée, si l’injection de graisse se fait dans le muscle, pouvant ainsi entrainer une embolie graisseuse. Il est donc indispensable qu’elle soit réalisée par un chirurgien expérimenté.

 

Le lifting des fesses

 

Il permet, en réalisant une cicatrice cachée dans le haut de la culotte, de véritablement lifter (remonter) des fesses tombantes, et de venir corriger les plis de la partie inférieure de la fesse. Elle ne permet pas à proprement parler de galber les fesses, mais simplement de les remonter Cette chirurgie peut parfois être associée à un bodylift, un lipofilling de fesses ou dans certains cas d’amaigrissement massif, à des implants fessiers.

 

Les injections d’acide hyaluronique

 

Il s’agit d’une technique d’augmentation des fesses non chirurgicale. Celle-ci est réalisée au cabinet, sous anesthésie locale. L’augmentation par acide est cependant temporaire, et doit être répétée tous les 1 à 2 ans en fonction des patients, en raison de la résorption du produit par l’organisme.

 

Quelle technique choisir ?

 

Lorsque vous viendrez en consultation voir votre chirurgien esthétique, vous lui ferez part de votre désir, et de la technique d’augmentation et/ou de lifting souhaitée. Après un examen clinique minutieux, le Docteur Haiun vous informera des différentes techniques réalisables, de leurs avantages et inconvénients, leurs bénéfices et leurs risques, et décidera en accord avec vous, du meilleur geste à réaliser.

Deux consultations sont nécessaires avant d’envisager une chirurgie. Au cours de celles-ci, toutes les informations concernant l’intervention, le préopératoire et le postopératoire vous seront données. Ces deux consultations doivent être espacées de deux semaines minimum, car cette durée est le temps de réflexion obligatoire en chirurgie esthétique.

Cette deuxième consultation permet également au patient de préparer les questions auxquelles le Docteur Haiun vous répondra avec la plus grande clarté possible.

 

Quels sont les tarifs de ces différentes techniques ?

 

Vous pourrez retrouver l’ensemble des tarifs des différents gestes ici.


Mon traitement par toxine botulique

Qu’est-ce que la toxine botulique, ou Botox ?

 

La toxine botulique est, comme son nom l’indique, une toxine, sécrétée par une bactérie, la Clostridium botulinum. Cette toxine, une fois injectée, va venir se fixer sur les plaques motrices des neurones, et ainsi empêcher la transmission d’une information d’un neurone à un autre. Cette transmission interrompue, aucune information n’arrive jusqu’au muscle, qui ne peut par conséquent plus se contracter.

 

D’où vient la toxine botulique ?

 

La toxine botulique a été découverte au début du XXème siècle, et servait initialement à traiter les blépharospasmes (spasmes des paupières). Cette toxine a également montré de manière fortuite une disparition des rides de la patte d’oie lors de son utilisation. L’utilisation de la toxine botulique en médecine esthétique était née, mais ce n’est qu’à la fin du XXème siècle qu’elle a obtenu l’autorisation d’être utilisée en médecine esthétique. Ce n’est qu’ne 2003 qu’elle obtient l’AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) en médecine esthétique en France.

 

La toxine botulique a-t-elle d’autres utilités ?

 

Oui, la toxine botulique est également très utilisée chez les patients souffrant de maladies neurologiques  (démence, maladie génétique ou autre). De telles pathologies occasionnent des rétractions de membres. La toxine botulique est donc souvent utilisée, à des doses bien plus importantes qu’en médecine esthétique pour traiter et éviter ces rétractions, généralement très handicapantes pour les patients atteints.

 

La toxine botulique permet également de traiter l’hyperhydrose, c’est-à-dire la sudation excessive, au niveau axillaire ou encore au niveau de la paume des mains.

 

Enfin, la toxine botulique permet d’atrophier certains muscles, parfois proéminents, entrainant une gêne esthétique, comme par exemple les muscles masséters. Le blocage de ce muscle est également très efficace contre le bruxisme (le fait de grincer des dents). il permet également de relever la queue du sourcil dans certains cas, en paralysant le muscle orbiculaire oculaire.

 

Que traite la toxine botulique ?

 

Le vieillissement du visage est lié à deux facteurs :

 

  • La gravité : c’est grâce à lcelle-ci que l’on a les pieds sur Terre. Elle nous attire vers le centre de cette dernière. Ainsi, notre visage y est également soumis

 

  • L’action musculaire : les muscles de la mimique, en action permanente, sont liés à la peau via le SMAS (système musculo-aponévrotique superficiel). Celle-ci est donc constamment mobilisée.

 

De ces deux facteurs en résultent deux types de rides :

 

  • Les rides statiques, principalement liées à la gravité, telles que les sillons nasogéniens, les bajoues

 

  • Les rides dynamiques, liées à l’action des muscles de la mimique, telles que les rides du lion, liées aux muscles procerus et corrugators, les rides de la patte d’oie, liées au muscle orbiculaire oculaire, ou encore les rides frontales, liées aux muscles frontaux

 

 

La Toxine botulique va agir sur les rides dynamiques, c’est-à-dire liées à l’action des muscles de la mimique, en paralysant les muscles mis en cause, contrairement aux rides statiques, qui seront elles, plutôt traitées par des injections d’acide hyaluronique.

 

Quelles sont les rides traitées par la toxine botulique ?

 

C’est principalement les rides du tiers supérieur du visage qui seront traitées par la toxine botulique :

 

  • Les rides de la patte d’oie, liées au muscle orbiculaire oculaire

 

  • Les rides frontales, liées aux muscles frontaux

 

  • Les rides du lion, liées aux muscles procerus et corrugators

 

  • Elle permet également de traiter les rides de la marionnette, liées au muscle depressor angulo oris, mais également les pointes du nez tombantes lors du sourire liées au muscle septi nasi

 

  • Enfin, les rides de la lèvre blanche supérieure, vulgairement appelées « code barre », liées au muscle orbiculaire buccal peuvent être traitées par la toxine botulique. Ce traitement est cependant très risqué, car une paralysie trop importante de ce muscle peut entrainer des défauts d’élocution

 

Le jour de la première consultation

 

Au cours de cette première consultation avec votre chirurgien esthétique, votre demande sera entendue. Après un examen minutieux, un plan de traitement vous sera proposé, et mis en place avec votre accord.

Il sera également vérifié l’absence de contre-indication à un traitement par toxine botulique, comme une grossesse, ou encore un herpès labial actif.

 

Le jour de l’injection

 

L’injection de toxine botulique se déroule au cabinet, et dure environ 20 minutes. Aucune anesthésie n’est réalisée, cependant les injections sont totalement indolores. Le Docteur Haiun utilise des aiguilles spéciales, très fines, rendant ces injections totalement indolentes.

Aucune préparation n’est nécessaire avant l’injection, hormis un démaquillage si nécessaire.

 

Les jours suivant l’injection

 

Les effets de la toxine botulique n’apparaissent que 2 à 5 jours après l’injection.

Dans les 48 heures suivant l’injection, de légères céphalées (maux de tête) peuvent apparaître.

Les patientes peuvent se maquiller dès le lendemain.

L’activité physique est déconseillée dans les 24 heures suivant l’injection.

Une visite de contrôle avec le Docteur Haiun à J 15 est recommandée, dans le but de vérifier la satisfaction du patient et éventuellement réaliser une retouche si nécessaire.

 

Quel est le tarif d’une injection de toxine botulique ?

 

Vous pouvez consulter l’ensemble des tarifs pratiqués par le Docteur Haiun ici